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    Dieu veut que nous lui demandions ce qu’Il veut nous accorder.

    Source commentaire de l'évangile de Jésus Christ selon saint Marc 10,46b-52

    Parce que nous sommes parfois aveugles et/ou ne réussissons pas à savoir ce que nous voulons réellement, je vous partage cette méditation de l'évangile visé supra. Puisse-t-elle vous guider dans les moments où des choix sont à poser.

    Marie-Aude

    Celui qui avait le pouvoir de donner la lumière ne pouvait pas ignorer quels étaient les désirs de l’aveugle. Mais Il veut que nous lui demandions ce qu’Il veut nous accorder. Il a ordonné de prier et cependant Il disait : « Votre Père céleste sait ce dont vous avez besoin ». Il veut que nous priions, pour que notre cœur soit préparé à recevoir les dons de Dieu. Nous aussi, nous devons demander à Dieu, non les fausses richesses, ni les biens et les honneurs de la terre qui ne font que passer, mais la lumière : non la lumière dont l’éclat varie, qui passe, qui alterne avec la nuit, qui nous est commune avec les bêtes, mais cette lumière qui n’a ni commencement ni fin, et que nous devons contempler avec les anges (saint Grégoire le Grand )

    Jésus le Christ, lumière intérieure, ne laisse pas mes ténèbres me parler.
    Jésus le Christ, lumière intérieure, donne-moi d'accueillir ton amour.
    (Taizé)


    Apprends par là, mon cher ami, que, malgré notre bassesse et notre misère, si nous allons à Dieu de tout cœur, nous pourrons obtenir par nous-mêmes ce que nous demandons. (...) Même si Dieu ne nous accorde pas tout de suite ce que nous demandons, même si bien des gens cherchent à nous détourner de la prière, ne cessons pas de l’implorer. Car c'est ainsi que nous attirerons le mieux les faveurs de Dieu. (saint Jean Chrysostome)


    Ne nous lassons pas de prier pour préparer notre cœur à ce que le Seigneur va nous donner (Saint Augustin).


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  • En écho aux échanges de lundi soir (le compte rendu viendra plus tard), ce commentaire au sujet de la séparation d'Abraham et de Loth paru aujourd'hui sur Marche dans la Bible.

    Une séparation non violente

    De la séparation

     

    Il y a la séparation du grand départ et celles qui adviennent en cours de route. Partis ensemble, les communautés, les associations, les mouvements, les entreprises, les équipes, voire les familles, se divisent, chacun prenant sa propre direction.
    La séparation est toujours douloureuse et nous cherchons à l'éviter. Mais si l'on étouffe, s'il n'y a plus assez de place pour tout le monde, si une trop grande proximité conduit à des frictions, si l'on envisage déjà des conflits plus graves, un certain éloignement est nécessaire. Il faut alors le courage d'assumer une prise de distance. Paradoxalement, celle-ci permet de sauver le lien, la relation, c'est-à-dire l'essentiel.
    Dans ce récit, l'ancien accepte d'autonomiser le plus jeune, le laissant choisir l'espace où il pourra se développer. Ce faisant, il évite la promiscuité et maintient la communion. Ce processus, naturel entre les générations, peut l'être aussi entre les peuples, les régions, les pays.

    Il faut parfois autonomiser les parties d'un grand tout pour maintenir la relation autrement et leur permettre ainsi de rester en communion. Il faut accepter d'institutionnaliser les différences, pour que les particularités puissent coexister.
    Le jeune choisit le lieu le plus prospère. Mais attention, si tout le monde fait de même, la violence va se développer. Nous le savons déjà : Sodome et Gomorrhe seront détruites. L'ancien, lui, s'efface pour que l'autre trouve sa place et grandisse. En apparence, il lui revient la moins bonne part. Mais cette magnanimité est la logique même de la vie et il en sera récompensé.

    Source


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