Comme certains ont porté en leur temps une étoile sans le devoir, oui porter la kippa comme l'ont demandé les députés Claude Goasgen et Meyer Habib hier après-midi en en arborant une dans les couloirs de l'Assemblée nationale serait sans doute un moyen de résister ...

La laïcité ce n'est pas remiser la kippa et autres chapeau ou phylactères au placard, avec les voiles des femmes musulmanes, les turbans des siks, la croix des chrétiens ... C'est permettre que ces signes, s'ils restent non ostentatoires, puissent être portés sans que cela mette en jeu la vie de leurs porteurs.

La vraie laïcité, c'est aussi Messieurs nos dirigeants accorder la même valeur aux actes commis contre les diverses communautés pour ne pas renforcer le sentiment de délaissement que peuvent ressentir certains ... Et pour les journalistes accorder le même traitement des dites informations.

J'ai lu sur Facebook des chrétiens déplorant l'absence de réaction à l'incendie de l'église de Fontainebleau dimanche matin. Pourtant, le ministre de l'Intérieur s'est ensuite rendu sur place (trop tardivement ?).

Il est de la responsabilité de chacun de nous de vérifier les sources et d'être ferments de paix.

Marie-Aude

Le chemin que choisissent d'emprunter les membres de la Communion Notre-Dame de l’Alliance est celui de la fidélité à leur ancien(ne) conjoint(e). 

Une vidéo de KTO publiée sur le site de la Conférence des évêques de France, rubrique "La miséricorde en vidéo" met en avant leurs démarches.

Très belle tribune du Bellifontain François Huguenin Maillot dans Le Figaro d'hier suite à l'incendie criminel de l'église de Fontainebleau.

Une jolie plume mise au service de la défense de l'Histoire de cette ville et de notre pays.

Pour sa première audience générale de l'année 2016, le Pape François a commencé ce mercredi matin salle Paul VI au Vatican un nouveau cycle de catéchèses sur la «miséricorde dans la perspective biblique». Le but affiché est «d’apprendre la miséricorde écoutant ce que Dieu lui-même nous enseigne par sa Parole». Dans ce premier volet, le Pape est parti de l’Ancien Testament.

Dieu se présente lui-même comme miséricordieux, comme il le fit avec Moïse. Le mot hébreux évoque «une attitude de tendresse, comme celle d’une mère pour son enfant, prête à tout donner et à se donner elle-même». Il signifie aussi «viscère», et en ce sens, «on peut parler d’un amour viscéral».

Dieu est définit aussi comme compatissant : «il est toujours prêt à accueillir, à comprendre, à pardonner», «dans sa grandeur il se penche sur qui est faible et pauvre». Comme le père de l’enfant prodigue, il fait la fête à ses enfants, car «la miséricorde est une fête».

Troisième définition donnée par le Pape : Dieu est «lent à la colère». Il sait attendre et n’a pas l’impatience des hommes.

Le Pape souligne également que le Seigneur se proclame «plein d’amour et de vérité», parce qu’il met sa grandeur et sa puissance à nous aimer, si petits, si incapables que nous sommes. Sa «fidélité» est sans limite. «Nous pouvons totalement lui faire confiance : telle est la certitude de notre foi !»

Citant saint Paul, le Pape rappelle que «si toi, tu n’es pas fidèle à Lui, Lui il restera toujours fidèle parce qu’il ne peut pas se renier. La fidélité dans la miséricorde est le propre de Dieu».

Marie-Aude (source Radio Vatican)

... Brutal est le réveil après des années d'insouciance ... On a plus le choix il me semble, on doit vivre ou mourir ensemble ...

Trois phrases parmi beaucoup d'autres pleines de vérité extraites de la chanson "vivre ou mourir ensemble" publiée sur internet la semaine passée par Kery James, fer de lance du rap "conscient" en France. Il y appelle à la sagesse, après les attentats de Paris.

Marie-Aude