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L'intention de prière générale du Saint-Père pour mai est :
Pour que, partout dans le monde, les femmes soient respectées et que soit valorisée leur indispensable contribution sociale..
Son intention missionnaire est :
Pour que la pratique du chapelet se développe au sein des familles, des communautés et des groupes, en faveur de la paix et de l'évangélisation.
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Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son cœur;
Sans remord, sans regret, sans regarder l'heure;
Aller de l'avant, arrêter d'avoir peur;
Car, à chaque âge, se rattache un bonheur.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec son corps;
Le garder sain en dedans, beau en dehors.
Ne jamais abdiquer devant un effort.
L'âge n'a rien à voir avec la mort.
Vieillir en beauté, c'est donner un coup de pouce
À ceux qui se sentent perdus dans la brousse,
Qui ne croient plus que la vie peut être douce
Et qu'il y a toujours quelqu'un à la rescousse.
Vieillir en beauté, c'est vieillir positivement.
Ne pas pleurer sur ses souvenirs d'antan.
Être fier d'avoir les cheveux blancs,
Car, pour être heureux, on a encore le temps.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec amour,
Savoir donner sans rien attendre en retour;
Car, où que l'on soit, à l'aube du jour,
Il y a quelqu'un à qui dire bonjour.
Vieillir en beauté, c'est vieillir avec espoir;
Être content de soi en se couchant le soir.
Et lorsque viendra le point de non-recevoir,
Se dire qu'au fond, ce n'est qu'un au revoir.Anonyme - Source
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Le mercredi matin, 27 avril 2016, lors de l’audience générale place Saint-Pierre, le Pape François a poursuivi son exploration du thème de la miséricorde dans les enseignements de Jésus, en s’arrêtant cette fois-ci sur la parabole du Bon Samaritain, tirée du chapitre 10 de l’Évangile selon saint Luc.
Cyprien Viet.
«Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, avec toute ta force et avec tout ton esprit, et ton prochain comme toi-même. Fais ceci et tu vivras». L’appel du Christ est clair : l’attention au prochain est une condition essentielle du Salut. Mais le docteur de la Loi qui pose la question à Jésus «qui est mon prochain?» cherche à le catégoriser : est-ce un parent, un compatriote, quelqu’un de la même religion que moi ?
La parabole du bon samaritain donne une réponse très concrète, car dans la Palestine du temps de Jésus, le samaritain est «un hébreu schismatique, considéré comme un étranger, païen et impur». Pourtant, c’est lui qui s’arrête pour secourir le moribond agressé par des brigands, alors que le prêtre et le lévite, pressés, passent leur chemin.
«Il n’est pas automatique que celui qui fréquente la maison de Dieu et connait sa miséricorde sache aimer le prochain», en déduit le Pape François : «Ce n’est pas automatique ! Tu peux connaître toute la Bible, tu peux connaître toutes les rubriques liturgiques, tu peux connaître toute la théologie, mais connaître n’est pas automatiquement aimer : aimer prend une autre voie, il faut l’intelligence, mais aussi quelque chose de plus».
Finalement, c’est la compassion du samaritain qui se rapproche le mieux de celle de Dieu ; «le Seigneur ne nous ignore pas, il connaît nos douleurs, il sait quand nous avons besoin d’aide et de consolation». C’est une interpellation pour nos relations au quotidien. «Tu peux devenir le prochain de quiconque tu rencontres dans le besoin, et tu le seras si dans le cœur tu as de la compassion», a insisté le Saint-Père.
À la fin de l’audience, le Pape a salué les pèlerins de langue française, en particulier les diocèses de Montpellier, de Nantes, de Saint Claude et de Moulins, accompagnés de leurs Evêques. Il a aussi salué les pèlerins de l’université Saint Joseph de Beyrouth, université jésuite libanaise qui fête cette année ses 140 ans.
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Salésiens CoopBelSud a attribué ses paroles à Brel, mais je pense que c'est Barbara qui la première les chanta. Cela rejoint aussi les échanges de lundi :
Derrière la saleté s’étalant devant nous
Derrière les yeux plissés et les visages mous
Au-delà de ces mains ouvertes ou fermées
Qui se tendent en vain ou sont poings fermés
Plus loin que les frontières qui sont de barbelés
Plus loin que la misère il nous faut regarder…Il nous faut regarder ce qu’il y a de beau
Le ciel gris ou bleuté, les filles au bord de l’eau
L’ami qu’on sait fidèle
Le soleil de demain, le vol d’une hirondelle
Le bateau qui revientPar delà le concert des sanglots et des pleurs
Et le cri de colère des hommes qui ont peur
Par delà le vacarme des rues et des chantiers
Les sirènes d’alarme et les jurons de charretier
Plus fort que les enfants qui racontent les guerres
Et plus fort que les grands qui nous les ont fait faire…Il nous faut écouter l’oiseau au fond des bois
Le murmure de l’été, le sang qui monte en soi
Les berceuses des mères, les prières des enfants
Et le bruit de la terre qui s’endort doucement
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